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Auteur/autrice : La Prunelle RDC
Une femme et ses deux enfants ont tragiquement perdu la vie dans un incendie survenu la nuit du jeudi au vendredi 18 octobre 2024, dans le quartier Katoyi, avenue Rusoma, en commune de Karisimbi, dans la ville de Goma, province du Nord-Kivu.
Le Bureau de Coordination de la Société Civile du Sud-Kivu encourage les personnes de bonne volonté à soutenir le gouvernement provincial dans sa campagne d’appel à contributions pour le développement de la province. C’est le vice-rapporteur de cette structure, Maurice Mirindi, qui lance cet appel. Il exhorte le gouvernement provincial à mettre en place un contrôle rigoureux de la gestion des fonds dans les Entités Territoriales Décentralisées (ETD) afin de résoudre divers problèmes dans ces entités.
L’alarme retentit sur les rives du lac Kivu. La suspension de la navigation nocturne, décidée par le Ministre National des Transports, semble plus qu’une simple précaution : elle pourrait mener à une catastrophe. Depuis quelque temps, cette mesure est en vigueur sur le lac, suite à des naufrages tragiques, notamment celui du MV Merdi près de Goma. Mais en réalité, les conséquences de cette décision sont alarmantes.
Ce jour marque un moment tragique de l’histoire de Mwenga, alors que la communauté se rassemble pour commémorer le 25ème anniversaire des atrocités commises le 17 octobre 1999. Ce jour-là, 14 femmes et un homme furent enlevés, torturés et enterrés vivants par des membres du Rassemblement Congolais pour la Démocratie (RCD). Deux décennies et demie plus tard, la douleur reste vive et la quête de justice, inachevée.
« J’ai fait le tour du monde et je veux faire rire avec ce que j’ai vécu ! » C’est avec enthousiasme que Samia Oresmane, comédienne et humoriste, partage sa passion lors d’une interview accordée à La Prunelle RDC. Son passage tant attendu au Festival « Zéro PolémiK », qui se déroule à Bukavu du 16 au 20 octobre 2024, promet d’être un moment mémorable.
Après plus de cent jours à la tête du Sud-Kivu, Jean-Jacques Purusi semble avoir pris le rôle de chef de la croisade, mais n’est-ce pas plutôt celui d’un chef de chapelle ? En lançant un appel à la mobilisation des contributions pour le développement de la province, le Gouverneur nous offre une vision peu commune de la gouvernance. Une gouvernance qui s’apparente plus à celle d’une ONG qu’à celle d’un représentant élu, censé canaliser les fonds vers les caisses du Trésor Public, tel un maître d’école armé de ses crayons et de ses bonnes intentions, mais manquant cruellement de moyens…
Après des décennies d’impunité, le Rwanda pourrait connaître un tournant majeur dans la lutte contre la torture en détention. En avril 2024, un procès historique a abouti à la condamnation de six fonctionnaires pénitentiaires pour meurtre et torture, mettant en lumière les abus systématiques dont ont souffert les détenus.
Le Ministre Provincial des Transports et Voies de Communication du Sud-Kivu, Mwingi Birengerenge Paulin, a annoncé la suspension temporaire de la navigation des bateaux Aganze II et Izinza sur le lac Kivu. Cette décision fait suite à une mission d’inspection réalisée du 8 au 10 octobre 2024, sur instruction du Gouverneur de Province, le Professeur Jean-Jacques Purusi Sadiki.
Le Professeur Luc Henkinbrant s’est exprimé à l’annonce du Procureur de la Cour Pénale Internationale (CPI), Karim Khan, concernant la réactivation des enquêtes sur les crimes présumés commis en République Démocratique du Congo (RDC), en particulier dans la province du Nord-Kivu depuis janvier 2022. Cette décision fait suite à un double renvoi des autorités congolaises, appelant à l’ouverture d’enquêtes sur les crimes sur leur territoire, le premier remontant à 2004 et le second en mai 2023.
Dans l’ombre des horreurs répétées, la réactivation des enquêtes par la Cour Pénale Internationale (CPI) en République Démocratique du Congo (RDC) suscite un mélange d’espoir et de scepticisme. L’annonce récente du Procureur de la CPI, qui concentre les investigations sur la province du Nord-Kivu depuis janvier 2022, soulève des interrogations cruciales. Qu’en est-il réellement de cette démarche, tant attendue par les acteurs sociaux du Kivu ? Est-ce un véritable tournant vers la justice, ou n’est-ce qu’une lueur passagère dans un ciel assombri par des décennies d’impunité ?