La Fédération du Sud-Kivu du parti politique Leadership et Gouvernance pour le Développement, (LGD) s’invite dans le débat actuel autour de l’épineux problème de la pénurie d’eau sur l’ensemble de la ville de Bukavu (Sud-Kivu).
Dans un Communiqué signé par son Président Fédéral, Nicolas Kyalangalilwa, le LGD dit observer avec amertume « l’indifférence » du Gouvernement provincial face au problème criant de pénurie d’eau qui s’observe dans la ville de Bukavu ces dernières Semaines.
Par leur insouciance et leur passivité, dénonce le Révérend Pasteur Kyalangalilwa, les autorités exposent la population aux risques des pandémies, à l’insécurité, et aux accidents. Ce parti rappelle l’exemple du cas de Monsieur Mumbere Meschack âgé de 23 ans qui s’est noyé dans la rivière Ruzizi le Jeudi 18 mai 2023 à la recherche d’eau.
Le LGD/SK qui présenter ses sincères et profondes condoléances à la famille de cette « énième victime de la mauvaise gouvernance actuelle », dénonce ce « manque manifeste de gouvernance et de leadership de qualité dans les chefs des autorités provinciales », dit le Communiqué.
« L’eau c’est la vie, dit-on! Quelle est donc cette autorité responsable et soucieuse du peuple qui peut laisser s’éterniser une pareille situation violant ainsi la constitution qui garantit à tous les congolais le droit d’accès à l’eau potable ainsi qu’à la sécurité », insiste le Communiqué.
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Par rapport à cette situation, le parti politique Leadership et Gouvernance pour le Développement, (LGD) invite le gouvernement provincial à décanter cette situation et prendre des mesures idoines pour rétablir la fourniture d’eau sans délai ni conditions.
A la Société civile dans sa diversité, d’être plus exigeante et moins conciliante face à régime qui a choisi de se servir et non de servir le peuple.
A La population du Sud-Kivu, le LGD appelle à se désolidariser de ces politiques égoïstes qui sont la cause première de sa souffrance et « à se préparer à sanctionner sévèrement ces acteurs politiques de l’Union Sacrée de la Nation aux prochaines joutes électorales ».
Jean-Luc M.